Vie et itinéraire de Saint Grégoire le Grand

Publié le par Ntawigenera

  La Papauté, au sein de l’Eglise catholique, s’est développée avec une continuité et une logique, qu’on ne retrouve dans aucune institution humaine. « L’autorité de Pierre ressemble d’abord à un modeste gland qui, enfoui dans la terre, semble y mourir. Puis sa tige s’élève peu à peu, sans qu’on soupçonne la force incroyable qu’elle recèle en ses flancs. Elle grandit encore, étend ses frondaisons, multiplie ses rameaux, elle s’élève toujours malgré les orages et les intempéries, pour subsister sans fin dans la vigueur inébranlable de son fût et dans la verdeur toujours renouvelée de ses branches »[1].

La conversion des peuples païens, l’extinction de l’arianisme contribuèrent à accroitre sa puissance. La Rome impériale, qui avait jadis brillé d’un si vif éclat, avant d’être supplantée par Byzance,-a acquis un prestige encore plus éclatant en devenant la Rome papale,- le lieu sacré où reposent les reliques des saints Apôtre Pierre et Paul, le centre d’où rayonne l’autorité suprême de l’Eglise sur la catholicité.

On peut noter le développement da la puissance pontificale, en la considérant dans certains papes qui jalonnent l’histoire et marquent les étapes de son progrès. Le pontificat de Grégoire le Grand est un des plus significatifs, car il clôt l’antiquité chrétienne et ouvre la Moyen Age.

Elu dans « atmosphère de fin du monde à Rome »[2] à la mort de Pélage II qui venait de succomber le 07 février 590 parmi des milliers s des victimes de la peste bubonique. En effet Rome dépeuplée, ruinée, menacée par les Lombards qui ont envahi l’Italie, la vieille cité se trouve en 590, submergée par une crue énorme du Tibre qui inonde tous les bas quartiers et noie les hangars à grain. Dans les rues où flottent les cadavres en décomposition, se répandent les rats porteurs de ladite peste. Ce moine bénédictin, ancien préfet de cette vieille cité romaine, fut élu à l’âge de 50 ans par acclamation du peuple et du clergé[3].

Notre présent travail consistera à présenter la papauté de cet homme qui avait renoncé au monde en pleine carrière administrative, pour entrer au monastère. Ce pape qui a mérité le qualificatif de « le Grand » et qui,  quant à lui, se qualifiait de « serviteur des serviteurs de Dieu», son influence sur la vie de la société et de l’Eglise de son époque. C’est ainsi que notre travail, qui ne comportera que deux chapitres, traitera dans le premier de sa vie avant le pontificat et dans le second de la vie pontificale.

I.1. Enfance et jeunesse

         On ne sait pas exactement la date de la naissance de saint Grégoire le Grand. Toutefois on ne peut pas la reporter au-delà de 540, si nous considérons qu’il avait l’âge de discernement en 546, ayant conservé le souvenir de terrible siège de Rome par Totila qu’il raconte dans ses Dialogues,1, III, ch. XI.[4] La sainteté, mêlée au dernier éclat de la grandeur romaine, avait veillé sur son berceau. Issu d’une famille sénatoriale, il comptait parmi ses aïeux un pape, saint Félix IV. Son père, le sénateur Gordien, qui jouissait d’une fortune considérable, possédait d’immenses domaines dans plusieurs provinces de l’Italie et en Sicile. Après avoir rempli plusieurs fonctions dans la cité, le père de Grégoire entra dans le clergé et mourut l’un des sept diacres chargés du soin des pauvres et des hôpitaux de Rome. Sa mère Sylvia se retira dans un petit oratoire où elle finit également ses jours dans la pratique de la piété et de la charité. L’Eglise l’honore le 03 novembre.  Sainte Tharsille et sainte Emilienne sont ses tantes.

      L’enfance de Grégoire dut être témoin des scènes les plus lamentables : en 16 ans, de 536 à 552, Rome avait été six fois assiégée par les envahisseurs, et tous les sièges qu’elle avait subis avaient été l’occasion des fléaux sans nombre.[5]Il est possible que Grégoire n’ait pas assisté à tous les fléaux dont la ville de Rome fut le théâtre. Car son père se retira, avec sa famille, pendant quelques années, dans ses terres de Sicile. En tout cas il devait avoir 12 à 14 ans quand le pouvoir fut définitivement rétabli à Rome et revint habiter le palais paternel situé sur le mont Coelius. Il fréquenta les écoles de grammaire, de rhétorique, de dialectique qui s’étaient rouvertes. Il y obtint le plus brillant succès, même s’il ne connut jamais bien le grec, car il a l’air de se venter de ne pas le savoir du tout, après six ans passés à Constantinople. Peut-être il dédaigna de l’apprendre parce que c’était une langue des maîtres byzantins. Il étudie le droit, mais aima, par-dessus tout, les études religieuses. Toutefois il hésita dans sa vocation religieuse et fut plutôt séduit par le désir d’être utile à ses concitoyens dans le rang de l’administration civile.

I.2. Du « Praefectus urbis » au monastère

       En 574, l’empereur Justin II lui assigna les fonctions de préfet de Rome qui était le premier fonctionnaire de Rome. Il n’y a pas d’amples informations sur son administration de la ville, mais suivant le récit de Grégoire de tours, on vit le préfet de Rome abandonner ses riches vêtements et les échanger pour les habits grossiers des gens de la campagne que les fils de saint Benoît avaient adoptés. Il transforma son palais du Mont Coelius en monastère et le plaça sous le vocable de saint André. Il fonda six autres monastères en Sicile dans les propriétés de sa famille, les dota de ses propres revenus et dona le reste de sa fortune aux œuvres charitables.[6] L’acte de donation  de son palais familial au profit des moines bénédictins, dans lequel il se qualifie comme serviteur des serviteurs de Dieu, le titre qu’il gardera 3 ans plus tard élevé au pontificat et que les souverains pontifes s’approprieront dans la suite, porte la date de l’année 587[7].

       Nous n’avons pas plus de détails précis sur la vie monastique de saint Grégoire que sur sa préfecture. Néanmoins, lui-même ; dans ses Dialogues, sans donner de détail précis sur cette période de sa vie, nous décrit son état d’âme à cette époque : « Mon âme se rappelle la vie qu’elle jouissait au monastère, lorsqu’elle dominait les choses périssables, lorsqu’elle méprisait tout ce qui passe pour ne penser qu’au ciel. Elle était bien prisonnière du corps mais la contemplation l’affranchissait des liens de la chair, et la mort que redoutent les hommes, elle l’aimait comme le commencement de la vie …»[8]

       Les infirmités et les souffrances ne lui furent cependant pas épargnées : « il était souvent pris des crises que les médecins appellent, en leur langage grec, des syncopes : parfois la souffrance était telle que l’on croyait qu’il allait rendre le dernier soupir »[9].

I.3. Du monastère à la nonciature de Constantinople

       Mais ce monde qu’il cherchait à fuir et à oublier dans la vie contemplative, se souvenait de la sage administration de son Praefectus urbis. Pour répondre aux désirs unanimes de la population que le pape Benoît Ier arracha à moitié le diacre Grégoire à sa chère solitude. Il lui confia la gestion des affaires ecclésiastiques dans une des sept régions de la ville. Peu de temps après, Pélage II voulut utiliser ses talents sur un champ plus vaste. Il l’appela à remplir des fonctions de nonce à la cour de Constantinople, auprès de l’empereur Tibère Constantin. Une telle fonction était, à cette époque, une des plus hautes et des plus importantes de l’Eglise[10]. La correspondance de saint Grégoire nous montre que son attention se porta dès lors sur le fameux patriarche Jean, dit le jeûneur, avec qui il devait engager plus tard une longue lutte pour l’honneur du Saint–Siège. Il écrira ceci de lui : N’aurait-il pas mieux valu manger de la viande que de souiller ses lèvres par le mensonge ? A quoi sert de jeûner si l’on est bouffit d’orgueil ? De s’habiller pauvrement si l’on se drape dans la vanité ?d’avoir l’air d’un agneau, si l’on cache les dents d’un loup ? Le jeune diplomate put aussi observer à Byzance, et mieux qu’il ne l’aurait fait ailleurs, le fort et le faible des peuples barbares. Il se mit aussi en relation avec les grands personnages de la société byzantine. Quant à sa mission diplomatique, le seul document qui peut nous fournir quelques informations insuffisantes est une lettre de Pélage II à son apocrisiaire écrite en 584 : « Parlez et agissez… » .

I.4. Sur le chemin du retour à l’abbaye de Saint-André

       Lorsqu’il reprit le chemin de Rome rappelé par le souverain pontife, Grégoire pouvait se dire que sa mission avait presque échoué. Toutefois, il avait touché du doigt l’impuissance des empereurs d’Orient à secourir l’Italie et que compris que si Dieu voulait sauver Rome et le monde une seule puissance qu’est la Papauté était capable de cette œuvre[11]. Dans l’asile béni où Grégoire était revenu avec tant de joie espérant  y trouver la paix sainte du Christ, même si point de désordre gravement scandaleux, le désordre était entré aussi. Nul sentiment, toutefois, n’était capable de le faire reculer en présence d’un devoir à remplir. Cependant les fléaux de toutes sortes continuaient à fondre sur Rome et le Pape Pélage II fut parmi les premières victimes de la peste bubonique rependue par les rats. Rome n’avait plus d’évêque, l’Eglise plus de chef, en un moment où la direction d’un pontife sage et ferme était si nécessaire. Tous les yeux se portèrent vers l’abbé de Saint-André.

 

               Elu à 50 ans, par acclamation du clergé, du peuple et du sénat d’une voix unanime sans délai malgré ses résistances[12], Grégoire fut sacré évêque de Rome le 03 septembre 590 ayant été préalablement ordonné prêtre[13].

II.1. « Liber regulae pastoralis »

        Un des premiers décrets de Grégoire Ier eut pour objet d’exclure les laïques du cubiculum pontificis. Il s’entoura des religieux les plus saints et les plus savants et en fit ses conseillers. Pendant qu’il dépense son activité sur le terrain pratique, il expose la théorie du ministère pastoral dans une œuvre intitulée Liber regulae pastoralis(écrit vers 591). Le Pastoral de saint Grégoire devint, au Moyen Age, le code de la vie cléricale, comme la Règle de saint Benoît resta le code  pour la vie monastique[14].

II.2. Un pape au service de la « res publica »

      Vis-à-vis de l’empire, l’attitude de Grégoire fut toujours d’un parfait loyalisme : sous les formes de déférence, dont il ne se départ jamais, Grégoire sut entendre à l’empereur les protestations de sa conscience et les hautes leçons chrétiennes. Conscient de ce qui lui sont du, l’évêque de Rome n’oublie pas ses propres devoirs qui sont autant politiques que religieuses : « Dans ce poste qui est le mien, écrit-il à son ami Léandre évêque de Séville, je suis secoué par les flots de ce monde et ils sont si violents et le vieux navire que le dessein caché de Dieu m’a donné à gouverner est à ce point pourri que je désespère de le conduire au port »[15]. Il parlait de l’Eglise d’abord, mais aussi de Rome dont le sort le préoccupe (en tant que l’ancien préfet de la ville). Il se voulait donc toujours au service de cette « res publica » et ce qui l’intéresse c’est d’épargner le sang des misérables paysans, dont le travail profite à tout le monde.

     Grégoire était impératif vis-à-vis des rois d’occident et savait avec tact les réprimander sur les abus qui s’introduisaient dans l’Eglise franque et dont les rois se faisaient les complices comme l’attribution  des évêchés en tenant compte des présents plus que de la valeur des candidats et la promotion des laïcs à l’épiscopat[16].

II.3. Ses relations avec l’Eglise d’orient

       L’évêque qui occupait le siège de Constantinople à ce moment était Jean IV dit le jeûneur, que Grégoire avait déjà rencontré pendant sa nonciature. L’époque n’est plus aux grandes disputes théologiques, Grégoire n’aura pas l’occasion, comme tant de ses prédécesseurs, d’entrer en conflit avec les patriarches d’Orient. Ce pendant il reproche à Jean de Constantinople de troubler l’Eglise à propos d’un vieux titre: patriarche œcuménique en  fomentant un esprit de division qui peut mener aux pires catastrophes,  question de mot, dit-on, mais il s’agit d’un mot qui n en fait déchire l’Eglise «  pure affaire de titre s’écrit-il,  pure question de mot »[17]. Grégoire se plut néanmoins à conserver jusqu’à sa mort les relations épistolaires les plus intimes avec les pieux laïcs et les religieux de Byzance qui s’étaient mis sous sa direction au temps de sa nonciature.

II.4. Un Pape des pauvres

       Le besoin le plus pressant à cette époque était le soin des pauvres victimes des guerres et des calamités de toutes sortes dont nous avons parlé. De pareilles nécessités sociales étaient une raison de plus pour Grégoire de veiller à la bonne administration du patrimoine pontifical. Sous sa propre direction les secours s’organisent, le ravitaillement est assuré grâce au blé des domaines que l’Eglise romaine possédait en Sicile[18]. « Cette préoccupation constante des pauvres, des petites gens, n’a pas été du goût de tout le monde et certains lui ont reproché d’avoir créé un  catholicisme vulgaire »[19]…                                                    

II.5. Son activité missionnaire

       Une autre passion qui habitait l’âme indomptable du chétif évêque de Rome était la réévangélisation de l’Angleterre. Il se plaignait que les évêques francs ne se souciaient guère d’aller prêcher dans la grande île voisine : « Il nous est parvenu que la nation des Angli veut devenir chrétienne, mais que les évêques du voisinage n’ont pour eux aucune sollicitude pastorale » écrit-il à la reine Brunehaut[20]. En 597, grâce à l’appui de la reine Brunehaut, le moine Augustin et ses compagnons, envoyés par saint Grégoire, réussissent à aborder en Angleterre, à convertir le roi de Kent Ethelbert qui se fit baptiser avec dix mille de ses sujets, et à établir les fondements de la hiérarchie catholique dans la grande île. Le Pape Grégoire collabora aussi à la conversion des Lombards en agissant discrètement sur la reine Théodelinde, princesse bavaroise catholique, qui avait épousé Agiluf, roi des Lombards. Celui-ci finit par être convaincu et abjura l’arianisme pour se faire catholique en 591[21].

II.6. Vers la Patrie céleste

      Ce pendant, la santé du grand pontife déclinait de plus en plus. Depuis l’année 598, il gardait le lit presque continuellement. En 604, croyant peut-être que l’empire et le monde allaient disparaitre bientôt après lui, mais conscient d’avoir accompli son devoir jusqu’au bout, il rendit son âme à Dieu le 12 mars 604[22].

 

         Ce grand Pape, selon les expressions de Bossuet, « avait instruit les empereurs, consolé l’Afrique, converti l’Angleterre, réformé la discipline en France, fléchi les Lombards, sauvé Rome et l’Italie, réprimé l’orgueil naissant des patriarches, éclairé toute l’Eglise par sa doctrine, gouverné l’Orient et l’Occident avec autant de vigueur que d’humilité »[23]Il avait accompli toutes ces choses avec un zèle tout apostolique, au nom d’une justice sociale dont il se sentait le défenseur  responsable ; il avait fait retentir les mots de justice, de droit, de liberté aux oreilles des empereurs, des exarques, des rois lombards, des évêques, des abbés et des peuples, comme personne ne l’avait fait avant lui :  « mon ministère, écrivait-il, m’oblige à courir partout où l’exige la justice »[24]. Il disait encore : « …quoi que vous fassiez, sauvegarder  d’abord le droit de la justice, puis respecter ceux de la liberté. Donnez à ceux qui vous sont soumis la liberté que vos supérieurs vous donnent vous-mêmes »[25].

         Saint Grégoire le Grand est un des personnages les plus importants de l’histoire. Par ses origines et par son caractère il apparaît comme le dernier représentant du monde antique; par la nature et la portée de son œuvre, il doit être considéré comme le fondateur du Moyen Age. Successivement préfet de la ville de Rome, simple moine bénédictin, ambassadeur à la cour de Constantinople et chef de l’Eglise universelle, Saint Grégoire le Grand a traversé les milieux les plus divers. Il est vrai que quelques-uns des aspects les plus fâcheux du catholicisme trouve chez, sinon leur origine, du moins un nouvel élan. Mais quelle belle santé théologique chez ce pape toujours malade ! Que voilà bien la véritable grandeur : par-delà statuts, rôles et caractères, distinguer immédiatement l’essentiel-la qualité du cœur. C’est ce qu’il appelait superbement : défendre l’honneur de Dieu[26].

          Grégoire le Grand a composé de nombreux ouvrages, la plupart écrits au milieu des soucis de son pontificat. C’est lui aussi qui a créé le chant d’église qui porte son nom : le chant grégorien. Deux de ses ouvrages surtout ont eu une grande influence au Moyen Age : les Dialogues où il exalte saint Benoît et la vie monastique, et le Pastoral, où il trace les règles de la formation sacerdotale et de l’exercice du saint ministère[27].

 

 

TABLE DES MATIERS

 

INTRODUCTION GENERALE. 1

CHAPITRE I: LA VIE PRE-PONTIFICALE DE GREGOIRE. 2

I.1. Enfance et jeunesse. 2

I.2. Du « Praefectus urbis » au monastère. 2

I.3. Du monastère à la nonciature de Constantinople. 3

I.4. Sur le chemin du retour à l’abbaye de Saint-André. 3

Chap. II. LE PONTIFICAT DE SAINT GREGOIRE LE « GRAND ». 4

II.1. « Liber regulae pastoralis ». 4

II.2. Un pape au service de la « res publica ». 4

II.3. Ses relations avec l’Eglise d’orient. 5

II.4. Un Pape des pauvres. 5

II.5. Son activité missionnaire. 5

II.6. Vers la Patrie céleste. 6

CONLUSION GENERALE. 6

 

LES OUVRAGES CONSULTES

 

ARQUILLIERE. H.X., Histoire de l’Eglise, Les éditions de l’Ecole, Paris, 1963 ARQUILLIERE. H.X., Histoire de l’Eglise, Les éditions de l’Ecole, Paris, 1963

CLEVENOT M., Les hommes de la fraternité vi-viiième siècle, la chrétienté à l’heure de Mahomet, Fernand Nathan, col. »Histoire et Documents », Paris, 1983

MOURRET F., Histoire générale de l’Eglise ; l’Eglise et le monde barbare, Librairie Bloud et Gay, Paris, 1921

Le Nouveau Petit Robert de la langue française 2007

 



[1] ARQUILLIERE. H.X., Histoire de l’Eglise, Les éditions de l’Ecole, Paris, 1963, p.133

[2] CLEVENOT M., Les hommes de la fraternité vi-viiième siècle, la chrétienté à l’heure de Mahomet, Fernand Nathan, col. « Histoire et Documents », Paris, 1983,p.85

[3]Cf. Id.

[4]Cf. MOURRET F., Histoire générale de l’Eglise ; l’Eglise et le monde barbare, Librairie Bloud et Gay, Paris, 1921, p.51

[5]Cf.Id.

[6]Cf. Id. P. 55

[7]Cf. Ibid. P. 56

[8]Dialogues, préface

[9]Paul Diacre, I, 5. P. L., LXXV, 43, cité aussi dans MOURRET F., Op. Cit. p. 60

[10]Cf. Ibid. P.61

[11] Cf. Ibid. P.68

[12]  Cf.CLEVENOT M., Op. Cit., p.85

[13]Cf. MOURRET F, Op.Cit., p. 71

[14]Cf. Ibid., p.75

[15] CLEVENOT M., Op. Cit. 86

[16] ARQUILLIERE. H.X., Op. Cit. P. 135

[17] Cf. MOURRET F, Op.Cit., p.80

[18] CLEVENOT M., Op. Cit. 86

[19] Ibid. p. 90

[20] Ibid. p.89

[21]ARQUILLIERE. H.X., Id.

[22] MOURRET F, Op.Cit., p.101

[23] Bossuet, Discours sur l’Histoire Universelle, 1ère partie, 11ème époque

[24] MOURRET F., Id.

[25] Ibid. P.102

[26]CLEVENOT M., Op. Cit. p.91

[27] ARQUILLIERE. H.X., Op. Cit. p.135

 

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